ART-O-RAMA, Salon international d’art contemporain  s’est imposé comme l’événement de la rentrée dans le sud de la France.

Pour cette nouvelle édition, ART-O-RAMA présentera une exposition collective intitulée Ce que raconte la solitude, dont le commissariat est assuré par Elena Lydia Scipioni.

image artorama 2014

Week-end d’ouverture du salon, 30 et 31 août 2014, à La Cartonnerie de la Friche Belle de Mai à Marseille.
Exposition ouverte tous les jours de 14h à 19h, Jusqu’au samedi 14 septembre.

Chronique à suivre après le week-end d’ouverture

Galeries

  • Antoine Levi, Paris
  • Carroll/Fletcher, Londres
  • Crèvecoeur, Paris
  • Daviet-Thery & mfc-michèle didier, Paris
  • Delire Gallery, Bruxelles
  • Emmanuel Hervé, Paris
  • Laurent Godin, Paris
  • Louis 21, Madrid|Palma de Majorque
  • MD 72, Berlin
  • Meessen de Clercq, Bruxelles
  • NoguerasBlanchard, Barcelone|Madrid
  • PM8, Vigo
  • Praz-Delavallade, Paris
  • Proyectos Ultravioleta, Guatemala City
  • Ricou Gallery, Bruxelles
  • Rolando Anselmi, Berlin
  • Samy Abraham, Paris
  • Sultana, Paris
  • Tatjana Pieters, Gand

Projet invité

  • Gasconade, Milan

Artiste invité

  • Sergio Verastegui

Show Room
Vincent Ceraudo, Franck Lesbros, Jérôme Robbe et Samuel Trenquier
Sélection par Frédéric Bonnet.

En savoir plus :
Sur le site d’ART-O-RAMA
Sur la page Facebook d’ART-O-RAMA
ART-O-RAMA
sur Twitter


Présentation (extrait de la dernière newsletter d’ ART-O-RAMA) :

ART-O-RAMA, premier salon international d’art contemporain du Sud de la France, est heureux de présenter «Ce que raconte la solitude», une exposition collective conçue par Elena Lydia Scipioni qui sera inaugurée lors du weekend d’ouverture du salon, au sein des espaces d’exposition de la Friche Belle de Mai à Marseille.

Le point de départ de «Ce que raconte la solitude» est Marseille, ville de passage où de nombreux artistes et intellectuels en transit ont trouvé refuge durant la Seconde Guerre Mondiale. Une ville devenue pour eux un lieu d’échanges, de travail et de rêve. Les rencontres quotidiennes, les différences mais aussi les convergences culturelles sont autant d’articulations autour desquelles l’exposition tisse les liens entre l’isolation, comme possible condition de créativité, et la résistance individuelle ou collective.

Les œuvres présentées couvrent des époques et des espaces géographiques différents, pour arriver au temps présent et à ses événements les plus brûlants, révélant ainsi la position de l’artiste et sa direction dans le monde.

À cette occasion, le musée Cantini exposera en exclusivité le Jeu de Marseille (1941). Il s’agit de dessins pour un jeu de cartes né d’un échange créatif entre André Breton et d’autres artistes réfugiés à la Villa Air-Bel dans les quartiers Est de Marseille. À travers ce jeu, s’affirment de nouveaux idéaux de révolution, d’amour, de rêve et de connaissance.

Le titre de l’exposition a été conçu par l’écrivain Golan Haji également invité à écrire un texte autour des œuvres présentées dans l’exposition.

Une discussion autour de l’exposition entre Elena Lydia Scipioni et l’artiste Gilad Ratman se tiendra le dimanche 31 août à 15h30 dans l’espace Librairie d’ART-O-RAMA (La Salle des Machines).

En lien avec l’exposition :
« Square Without Mercy » Adrià Julià à l’American Gallery

À voir également :
Gasconade – Projet invité 2014

La Nuit des Galeries à Marseille – 1ère édition
Mécènes du Sud invite Alexander Schellow

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